Ce test explore des expériences similaires à la schizophrénie avec évaluation de l’impact. Il s’appuie sur des outils validés (PQ-B) et des entretiens cliniques (SIPS, Mini-SIPS) et suit les principales lignes directrices sur la psychose précoce et la schizophrénie. Répondez à chaque question par Oui ou Non et, en cas de Oui, indiquez le niveau de gêne.
Comment utiliser cet outil
- Répondez à chaque question par Oui ou Non.
- En cas de Oui, précisez à quel point cela vous a dérangé ou affecté (0–5).
- Complétez toutes les questions principales puis consultez le panneau de résultats.
- Les résultats sont purement informatifs ; en cas de doute, consultez un professionnel.
Caractéristiques
- Questions individuelles avec Oui/Non et échelle de gêne 0–5
- Couverture des domaines positifs et négatifs
- Indicateur composite avec catégories de risque
- Questions de sécurité comme filtres
- Questions contextuelles sur substances et facteurs médicaux
- Comptes par domaines : positif, négatif, fonctionnel, cognitif
- Panneau de résultats avec indicateur, catégories et statistiques
- Fonctionne localement dans le navigateur
Qui devrait l’utiliser
Adultes et étudiants confrontés à des expériences inhabituelles suscitant des doutes ; cliniciens en formation ; chercheurs ayant besoin d’un auto-questionnaire structuré de présélection.
Schizophrénie et psychose précoce
Les symptômes psychotiques incluent hallucinations, délires et pensée désorganisée. Les changements fonctionnels et motivationnels sont fréquents. Une détection et une prise en charge précoces améliorent le pronostic. Cet outil estime un indicateur de dépistage en combinant présence des symptômes, intensité du ressenti et impact fonctionnel. Seul un professionnel peut poser un diagnostic.
Limitations
- Outil éducatif, non diagnostique
- Ne représente pas une probabilité de schizophrénie
- Peut être influencé par des biais de mémoire et des facteurs contextuels (manque de sommeil, stress, substances, troubles médicaux)
- Ne remplace pas une évaluation professionnelle
Quand demander de l’aide professionnelle
- Pensées de se faire du mal ou de faire du mal à autrui, ou incapacité à subvenir à ses besoins essentiels
- Symptômes persistants ou aggravés affectant travail, études ou relations
- Symptômes apparus après un changement médical, un nouveau traitement ou l’usage de substances
Soutien en cas de crise en France : 01 45 39 40 00 (Suicide Écoute, 24h/24).
Fondement scientifique
La logique suit des instruments et entretiens publiés. PQ-B met l’accent sur la présence de symptômes et le ressenti associé ; SIPS et Mini-SIPS structurent l’évaluation clinique et les syndromes de risque. Les lignes directrices nationales décrivent diagnostic, diagnostic différentiel et parcours de soins.
- PQ-B : validation préliminaire (Loewy et al., 2011)
- Structured Interview for Psychosis-Risk Syndromes (SIPS) 5.5
- Mini-SIPS 1.0 (Yale)
- NIMH : Schizophrénie
- NICE CG178 : Psychose et schizophrénie chez l’adulte
FAQ
Que signifie le pourcentage dans les résultats ?
C’est un indice heuristique (0–100) basé sur les réponses positives, la moyenne du ressenti et le poids des domaines. Ce n’est pas un diagnostic.
Pourquoi demander l’évaluation du ressenti ?
L’évaluation de la gêne améliore la pertinence du dépistage, comme dans le PQ-B.
Pourquoi inclure des questions de sécurité et de contexte ?
Les risques aigus ou les explications alternatives évidentes priment sur l’estimation du risque.
Cela peut-il remplacer une évaluation clinique ?
Non. Seul un professionnel peut poser un diagnostic à l’aide de méthodes structurées comme SIPS.
Où trouver de l’aide ?
En France : Suicide Écoute 01 45 39 40 00.
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